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à l’Assemblée, l’examen du projet de loi constitutionnel percuté par les émeutes


Dans l’Hémicycle, la gauche a joué la montre en réclamant le retrait du texte du gouvernement. Alors que le vote devait avoir lieu mardi en milieu d’après-midi, les débats se sont poursuivis tard dans la soirée.

Des émeutes en Nouvelle-Calédonie, des débats agités dans l’Hémicycle. Mardi, à l’Assemblée nationale, les exactions commises à Nouméa étaient au cœur des discussions parlementaires. Alors que le projet de réforme constitutionnelle qui vise à élargir à de nouveaux électeurs le droit de vote aux élections provinciales provoque localement la colère des indépendantistes, plusieurs forces d’opposition ont pris la parole pour demander au gouvernement de retirer le texte.

« La situation était prévisible et vous ne l’avez pas empêchée. Là où il y avait besoin de sagesse, de tempérance et de lucidité, vous avez choisi l’embrasement », a notamment attaqué le patron du groupe communiste au Palais Bourbon, André Chassaigne, demandant au premier ministre de temporiser pour « organiser le retour au dialogue, seule voie pour obtenir un accord global ». Refus tout net de l’intéressé. « La violence n’a jamais forcé la main de personne, elle n’a jamais permis le dialogue », a rétorqué Gabriel Attal, rappelant…

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