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L’international, un domaine que François Bayrou ne se presse pas d’investir


DÉCRYPTAGE – À la demande du chef de l’État, le premier ministre devrait bientôt se rendre en Chine. Mais sans l’engouement de ses prédécesseurs.

Bientôt libéré du débat budgétaire, François Bayrou s’apprête à investir de nouveaux chantiers. Jusqu’à l’international. Le chef de l’État lui a demandé de se rendre prochainement en Chine. Ça devrait être son premier déplacement à l’étranger depuis son installation à Matignon. Lors de la dernière conférence des ambassadeurs, en janvier, Emmanuel Macron l’a chargé « d’obtenir une avancée » à Pékin en faveur de « nos producteurs de cognac et d’armagnac », qui subissent des rétorsions commerciales depuis que l’Union européenne a instauré des droits de douane additionnels sur les véhicules électriques chinois. Avant que la dissolution ne passe par là, la mission avait d’abord été confiée à Michel Barnier, très friand de relations internationales.

Même si l’usage veut que les affaires du monde relèvent du président de la République, les locataires de Matignon ne rechignent pas à la tâche quand il s’agit de se tailler une stature à l’étranger. Gabriel Attal avait beaucoup misé sur sa visite officielle…

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