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l’avenir en sursis de la réforme du mode de scrutin à Paris, Lyon et Marseille


Alors que le passage à un scrutin direct dans les trois plus grandes villes de France avait déjà été entravé par la dissolution, les chances que cette révision électorale aboutisse d’ici les municipales s’amenuisent.

C’est l’un des serpents de mer du deuxième quinquennat d’Emmanuel Macron. Alors que les municipales de 2026 approchent à grands pas, la révision de la loi PLM, qui vise à «démocratiser» le mode de scrutin en vigueur dans les trois plus grandes villes de France (Paris, Lyon et Marseille), se fraiera-t-elle un chemin au Parlement d’ici le printemps ? Et ce, pour pouvoir s’appliquer lors des prochains scrutins locaux. Avec un calendrier si serré, l’hypothèse semble de moins en moins probable. Au point que les initiateurs de la réforme craignent de voir leur projet mis de côté, eu égard à la trop grande incertitude politique. «Les circonstances font qu’il est difficile de se projeter au-delà de l’exercice budgétaire, mais c’est une grande nécessité pour les trois villes concernées», pointe le député Renaissance Jean Laussucq.

Après les législatives anticipées, son collègue David Amiel, missionné avec d’autres pour réécrire le texte de 1982, reconnaissait déjà que la fragmentation…

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