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nouvelles étapes clés pour la préparation de la Seine


Les ministres de la Transition écologique et des Sports inaugurent ce mardi une station de dépollution des eaux pluviales à Champigny-sur-Marne, un des «ouvrages structurants» destinés à rendre le fleuve baignable pour les JO, et après.

À trois mois du début des épreuves olympiques, la course engagée pour rendre la Seine baignable va franchir dans les prochains jours des étapes décisives. Ce mardi, le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, et sa collègue des Sports et des JO, Amélie Oudéa-Castéra, inaugurent la nouvelle station de dépollution des eaux pluviales, à Champigny-sur-Marne. Cette structure située dans le Val-de-Marne, en amont de la capitale, vise à stocker et décontaminer les eaux de pluie du secteur avant leur rejet dans la Marne, qui elle-même finit dans le fleuve.

La baignabilité d’une eau repose sur la présence ou non de deux types de bactéries, Escherichia coli et entérocoques intestinaux, qui peuvent rendre malade même avec un temps d’exposition limité. 1,4 milliard d’euros ont ainsi été engagés pour les « neutraliser » et réduire d’au moins 75 % cette pollution bactériologique, non seulement pour les épreuves de triathlon et de nage en eau libre devant se dérouler cet été mais aussi…

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